Evaluation-accompagnement du projet Welcode pour Simplon

2020-2021

Intervention :
Evaluation embarquée et accompagnement de l'amélioration continue du projet

Champs thématiques :
Approche inclusive et interculturelle Lutte contre les discriminations Insertion et emploi Accès aux droits

Notre approche

Welcode est un projet de l’entreprise sociale Simplon, soutenu par le FAMI (Fonds Asile – Migration – Intégration), qui vise l’insertion professionnelles de personnes réfugiées ou ressortissantes de pays tiers de l’UE à travers leur formation à différents métiers du numérique, le renforcement de leurs compétences linguistiques et transversales et un accompagnement renforcé vers l’emploi.

Simona Mattia a assuré pendant un an et demi l’évaluation “embarquée” du projet et l’accompagnement de son amélioration en continu en mobilisant un cadre d’analyse et des méthodes d’enquête et de travail contributives et participatives. Elle a coanimé des « comités d’expert.es », espaces de réflexion sur les enjeux de l’emploi des personnes avec un parcours de migration et de l’ouverture à la diversité des métiers du numérique.

L’analyse de l’expérience et des besoins des personnes concernées (les apprenant.es du parcours Welcode) a été au centre de l’élaboration de préconisations et de la co-construction d’outils de suivi de projet avec les équipes. Les résultats de l’évaluation ont été détaillés dans un rapport final, destiné à appuyer la réflexion des équipes sur la stratégie à adopter pour un futur projet.

Les spécificités méthodologiques :

  • Une démarche d’enquête évolutive et itérative, suivant le parcours du projet et mise au service de son amélioration continue.
  • Un travail réalisé à partir des besoins et expériences des publics-cibles, en les impliquant dans l’analyse des forces et faiblesses du projet.
  • La mobilisation de méthodologies et cadres conceptuels des sciences sociales pour analyser l’organisation autour du projet d’une part et les parcours d’apprentissage d’autre part.

L’équipe projet

« Ma crainte reste toujours d’arriver à maîtriser les codes, car je n’ai jamais travaillé en entreprise. Je suis confiant sur mon niveau technique mais pas sur le français, sur ma capacité à tout comprendre. »